Au pont du Rock 2007


 

 

Pour la première fois deux reporters ont suivit ce festival, très festif, ambiance vraiment sympa.

bref ça l'a vraiment fait !!!

 

 

15h00 : Nous arrivons à Malestroit, après une bonne heure de voyage (Merci à la maman d’Audrey). Mais il faut encore trouver l’entrée « presse », où nous devons retirer nos badges. On aperçoit deux bénévoles à qui on demande la route. Coup de chance, ils surveillent justement l’entrée du parking « presse-­bénévoles » !

Mais il ne faut pas crier « victoire » trop tôt, comment accéder au site du festival maintenant ? On n’a qu’à suivre les festivaliers, nous souffle une voix sage. Ca parait être une bonne idée. Seulement, les festivaliers nous mènent entre un terrain de pétanque, un terrain de foot et un portail fermé (qu’il faut escalader !). Ce n’était peut‐être pas une si bonne idée finalement ! Nous sortons donc de ce parking, partant à la recherche de la véritable entrée « presse ».

 

 

15h30 : Nous trouvons enfin l’entrée « presse » ! Audrey appelle donc Cécile, qui vient nous chercher, nous remet nos badges et nous embarque pour un tour express sur le site du festival. « Le terrain est très grand, et pourrait largement contenir plus de 10 000 personnes, nous explique Cécile, mais nous voulons rester dans cet esprit familial ».

Effectivement, c’est grand ! Il y a deux scènes, une petite (Grenouille) et une grande (Dragon), assez rapprochées. Ensuite Cécile nous conduit à la tente réservée à la presse, juste à côté des loges des artistes, avant de nous laisser. Nous nous y installons donc le temps de revoir et peaufiner nos questions, puis nous allons faire un tour sur le site, manger des gaufres et des chichis.

 

 

17h00 : C’est l’heure de la conférence de Da Silva, qui arrive avec dix bonnes minutes de retard d’ailleurs ! Nous ne sommes que trois équipes de journalistes. En plein milieu de l’interview, le portable d’Audrey qui sonne… Merci qui ? Merci Ludo ! Après cette conférence, c’est le calme plat… Plus personne n’est disponible. Le calme avant la tempête peut-­‐être ? Nous allons donc refaire encore le tour du site pour nous familiariser avec le terrain (qui paraissait immense au départ, mais qui finalement, n’est pas si grand !). Là nous croisons un festivalier, un collier de coquillages et une poignée de porte dans la main (?), va comprendre !

 

 

20h30 : Nous croisons Jehro qui revient de son concert, et qui accepte très gentiment notre interview après une bonne bière et un petit peu de repos. Audrey interviewe, Hélène prend des photos, quel duo de choc ! Puis au bout d’un quart d’heure, d’un jingle et d’un autographe pour l’équipe du speed, nous enchaînons avec la conférence de Mouss (chant), Yann (guitare) et Nico (guitare) de Mass Hystéria, qui avait déjà commencé depuis quelques minutes.

 

 

21h45 : Cette fois, c’est Tété que nous croisons ! Prenant notre courage à deux mains, nous allons lui demander de nous accorder quelques minutes de son précieux temps pour une petite interview, ce que le chanteur nous promet, une fois qu’il aura mangé et qu’il aura tourné son film (Tété gère lui-même toute sa partie internet !). Nous en profitons donc pour manger un petit bout en attendant.

 

 

22h35 : Toujours pas d’interview de Tété. Mais le concert de Mass Hystéria commence, alors étant donné que nous n’avons le droit de prendre des photos que pendant les trois premières chansons de chaque concert, nous nous dépêchons d’aller devant la scène ! En passant près des baffes, on aurait presque dit que notre tête allait exploser tellement c’était puissant ! De retour près des loges, on entend tous les artistes dire « Ah tient ! Ca c’est Mass ! ». Eh oui, ça ne passe pas vraiment inaperçu !

 

 

22h45 : Tété nous accorde quelques minutes pour l’interviewer mais malheureusement, un petit crachin breton commence à tomber. Nous trouvions plutôt que ça faisait du bien, tellement l’ambiance était survoltée, mais Tété n’était pas de cet avis : « Les filles, je vais vous laisser plutôt que prévu, il commence à pleuvoir ! ». Tant pis, c’est déjà bien. Après un rapide jingle et un petit autographe, Tété rentre dans sa loge.

 

 

23h00 : Thomas, le batteur des Burning Heads nous accorde une interview. « Il pleut dehors, c’est pas grave ? ». « Non, on n’est pas en sucre ! ». Pendant que nous posions des questions au batteur, le reste du groupe n’arrête pas de faire des grimaces, d’envoyer des vannes, ou même de se cacher derrière les plantes pour déconcentrer Thomas ! Un jingle et des beaux autographes et dessins des Burning Heads et il est l’heure de partir (Merci la maman d’Hélène ).

 

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